Episode 6 : Gardasil â Aucune preuve quâil prĂ©vienne le cancer du col de lâutĂ©rus, au contraire !
Plus de 200 souches de papillomavirus humain (PVH) ont été identifiées, et environ 40 d'entre elles "pourraient" causer le cancer, y compris le cancer du col de l'utérus, du pénis, de la bouche, du vagin, de la vulve et de l'anus. Parmi ceux-ci, le cancer du col de l'utérus est le type le plus courant de cancer attribué au PVH. Certaines souches sont également responsables des verrues génitales.
90% des infections au PVH disparaissent d'elles-mĂȘmes sans traitement, car un systĂšme immunitaire qui fonctionne bien permet de contrĂŽler le virus. Dans de rares cas cependant, une infection par un PVH Ă haut risque qui reste non traitĂ©e et non contrĂŽlĂ©e peut se transformer en cancer.
Ătant donnĂ© que l'infection par le PVH produit rarement des symptĂŽmes jusqu'Ă ce qu'elle devienne cancĂ©reuse, il est conseillĂ© aux femmes d'effectuer au moins un dĂ©pistage tous les trois Ă cinq ans, ce qui permettra d'identifier la prĂ©sence du PVH et de le traiter.
Afin de convaincre les rĂ©gulateurs et les responsables de la santĂ© publique dâhomologuer le Gardasil, Merck a menti sur l'efficacitĂ© du vaccin en annonçant Ă tort que le Gardasil prĂ©venait le cancer du col de l'utĂ©rus.
Aucune étude crédible ne démontre que le Gardasil prévienne le cancer du col de l'utérus.
Merck ne voulait pas investir le temps ou l'argent nécessaire pour effectuer des tests et a persuadé les régulateurs de lui permettre d'utiliser des « paramÚtres de substitution » pour étayer sa théorie selon laquelle les vaccins contre le PVH seraient efficaces pour prévenir le cancer du col de l'utérus.
L'utilisation de ces paramÚtres de substitution a permis à Merck de raccourcir les essais cliniques à quelques années et d'obtenir des approbations réglementaires pour les vaccins sans aucune preuve que les vaccins préviendraient le cancer à long terme.
En 2006, le premier vaccin contre le PVH, Gardasil, a Ă©tĂ© homologuĂ© ; d'abord en Europe en fĂ©vrier suivi des Ătats-Unis en juin.
En effet lâEMA lâa approuvĂ© avant la FDA, assez rare pour ĂȘtre soulignĂ©.
Lorsque le Gardasil a Ă©tĂ© introduit pour la premiĂšre fois, la chercheuse sur le PVH, le Dr Diane Harper, a prĂ©dit qu'il faudrait 60 ans de vaccination d'au moins 70 % de toutes les filles de 11 ans pour rĂ©duire les taux de cancer du col de l'utĂ©rus aux Ătats-Unis.
Mais en janvier 2020, une étude du Royaume-Uni a soulevé des doutes importants quant à savoir si le vaccin Gardasil prévenait le cancer du col de l'utérus, comme le prétend Merck. L'étude souligne le fait qu'il n'a jamais été prouvé que le Gardasil prévient le cancer du col de l'utérus (ou tout autre type de cancer).
A Noter quâen France les dĂ©pistages Ă©taient effectuĂ©s tous les 36 mois car il est connu que lâĂ©crasante majoritĂ© de ces lĂ©sions guĂ©rissent spontanĂ©ment dans cet intervalle de temps. Mais depuis lâarrivĂ©e du Gardasil les autoritĂ©s de santĂ© ont changĂ© la frĂ©quence de dĂ©pistage pour passer Ă 24 mois.
La suite vous la connaissez : il y a plus de lĂ©sions Ă PVH et Ă partir de lĂ on vous raconte quâil y a donc plus de cancers du col de lâutĂ©rus pour justifier la vaccination Gardasil.
Qui a bien pu demander ce changement de calendrier de dépistage ?
Merck bien sĂ»r ! Ils sont tous corrompus, Ă tous les Ă©tages, câest effrayant !
Observons que Merck lui-mĂȘme recommande de continuer les frottis de dĂ©pistages qui sont aujourdâhui reconnus encore comme Ă©tant la meilleure prĂ©vention contre le cancer du col de lâutĂ©rus.
Câest un peu comme le vaccin magique ARNm que tout le monde doit prendre pour ĂȘtre protĂ©gĂ© des formes graves en plus du masque, de la distanciation sociale, du gel hydroalcoolique. Et contre les formes graves il faut en plus le Paxlovid ! Bande de clowns !
En 2013 un groupe de chercheurs mettent en garde contre la supercherie :
Le vaccin a Ă©tĂ© saluĂ© comme une percĂ©e qui rĂ©duirait les taux de cancer du col de l'utĂ©rus, mais dans le monde rĂ©el, il a largement Ă©chouĂ©. Au contraire, le Gardasil est dĂ©sormais suspectĂ© dâAUGMENTER le risque de dĂ©velopper un cancer du col de lâutĂ©rus !
Plusieurs Ă©tudes (dont une du CDC qui a toujours soutenu le vaccin jusqu'Ă prĂ©sent) ont montrĂ© qu'en supprimant certaines souches de PVH, les vaccins Gardasil crĂ©ent une niche Ă©cologique pour dâautres souches jusque-là « plus faibles » qui tout dâun coup se retrouvent avec le champ libre pour se multiplier et pouvant entraĂźner dâautres cancers.
Les données de santé publique semblent étayer la conclusion selon laquelle le Gardasil pourrait augmenter le taux de cancer du col de l'utérus. AprÚs l'introduction du vaccin contre le PVH en Grande-Bretagne, les taux de cancer du col de l'utérus chez les jeunes femmes ùgées de 25 à 29 ans ont augmenté de 54 %.
En Australie, 13 ans aprĂšs la sortie du Gardasil et son introduction chez les adolescentes, il y a eu une augmentation de 16 % chez les femmes de 25 Ă 29 ans et de 30 % chez les femmes de 30 Ă 34 ans.
Pendant ce temps, les taux diminuent pour les femmes plus ĂągĂ©es grĂące au dĂ©pistage (qui n'ont pas Ă©tĂ© vaccinĂ©es). En d'autres termes, le Gardasil peut augmenter le risque de cancer en permettant Ă dâautres virus PVH de prendre la place (phĂ©nomĂšne de remplacement) de ceux que le Gardasil est sensĂ© inhiber.
Ce sera lâun des nĆuds des procĂšs de certaines victimes qui dĂ©posent une plainte contre le vaccin Gardasil aux Etats-Unis.
La propagande des politiques corrompus continue pourtant de marteler que lâAustralie aurait Ă©radiquĂ© le cancer du col de lâutĂ©rus grĂące au Gardasil alors quâil est impossible dâaffirmer une telle chose.
Il faudrait des dĂ©cennies avant de pouvoir sâen rendre compte car ces cancers ne concernent pas les jeunes mais <<1% des femmes autour de 60 ans.
Alors sur quoi se basent-ils ?
Bah oui, sur des modélisations mathématiques, pas sur des chiffres réels. Simulation publiée dans le Lancet en 2018, encore ce journal de malheur !!!
Pourtant la rĂ©alitĂ© a la vie dure car cet objectif dâĂ©radication ne fait que dâĂȘtre reportĂ© : en 2021 lâOMS publiait un tableau de bord prĂ©disant lâĂ©radication de ce cancer en 2030 :
Mais les derniÚres prédictions reportent cet objectif à 2035 !
On se marre, quel niveau dâescroquerie !
Aujourd'hui, bientĂŽt 17 ans aprĂšs l'introduction du vaccin Gardasil, on observe un « pic inquiĂ©tant » des taux de cancer du col de l'utĂ©rus Ă travers les pays les plus vaccinĂ©s avec des taux de vaccination pouvant aller jusquâĂ 80 %.
En 2019, 73 % des adolescentes avaient reçu une dose et 57 % avaient reçu les deux doses dans la série.
Comme indiqué dans le numéro de décembre 2022 de l'International Journal of Gynecological Cancer.
En 2018 un article revu par les pairs est publiĂ© sur lâexplosion des cancers du col de lâutĂ©rus en SuĂšde et les auteurs lâont liĂ©e directement Ă la vaccination contre le PVH. Cet article a Ă©tĂ© rĂ©tractĂ© dans la foulĂ©e !
Ce PARADOXE sâexplique par le phĂ©nomĂšne de remplacement introduit plus haut :
Les souches initialement associĂ©es au cancer du col de lâutĂ©rus ayant Ă©tĂ© remplacĂ©es, chez les vaccinĂ©s, par de nouvelles souches jusque-lĂ contrĂŽlĂ©es par le systĂšme immunitaire.
Malgré ces observations inquiétantes, et les questions persistantes sur son efficacité, l'establishment médical salue toujours le vaccin contre le PVH comme un succÚs, prétendant que les cancers du col de l'utérus associés aux souches vaccinales auraient diminué.
Depuis 2006, les cancers associés aux quatre souches de PVH incluses dans le vaccin quadrivalent original semblent avoir diminué de 88 % chez les 14 à 19 ans et de 81 % chez les femmes ùgées de 20 à 24 ans.
MAIS : uniquement 14 cas de cancer du col de l'utĂ©rus/an se produisaient chez les femmes ĂągĂ©es de 15 Ă 19 ans avant lâintroduction du vaccin !
Ce qui signifie qu'une baisse de 88 % n'est pas si impressionnante surtout que les taux ont aussi diminué chez les femmes non vaccinées.
La baisse n'est donc pas « entiÚrement » due au vaccin mais aux campagnes de dépistage beaucoup plus efficaces.
En outre, lorsqu'on examine les cancers liés au PVH en général, sans tenir compte de la souche, les taux ont augmenté réguliÚrement depuis l'introduction du vaccin.
Comme l'a rapportĂ© la Kaiser Family Foundation (KFF) en juillet 2021 : "les cancers liĂ©s au PVH ont considĂ©rablement augmentĂ© au cours des 15 derniĂšres annĂ©es â en 2015, 43 000 personnes ont dĂ©veloppĂ© un cancer liĂ© au PVH contre 30 000 en 1999."
Les cancers oraux et anaux liés à l'infection par le PVH ont également augmenté.
Alors que le cancer du col de l'utĂ©rus Ă©tait le cancer associĂ© au PVH le plus rĂ©pandu, les cancers de la bouche sont dĂ©sormais les plus courants alors quâils Ă©taient quasi inexistants avant lâintroduction du Gardasil !
Pourquoi ?
Le vaccin contre le PVH augmente le risque de cancer dû à d'autres PVH qui touchent plus les hommes et donc la réponse est de vacciner les adolescents aussi !
La principale cause de cette augmentation continue semble ĂȘtre l'augmentation des cancers associĂ©s aux souches non vaccinales.
En effet, de nouvelles preuves suggÚrent que la vaccination contre le PVH rend les femmes plus sensibles que leurs homologues non vaccinées aux génotypes de PVH non couverts par le vaccin.
Ainsi, essentiellement les femmes qui ont reçu le vaccin viennent d'échanger un risque contre un autre.
Tel que rapporté par Medscape.
Grrrrr !!!
« Les données proviennent de l'essai de vaccin contre le PVH au Costa Rica, qui a impliqué plus de 10 000 femmes ùgées de 18 à 25 ans. Le vaccin contre le PVH utilisé dans l'essai était Cervarix, de GlaxoSmith Kline (2Úme vaccin contre le PVH disponible en France). Il couvre les deux principales causes de cancer du col de l'utérus, le PVH 16 et 18, et offre une protection partielle contre trois autres génotypes.
AprĂšs un suivi de 11 ans, chez les femmes vaccinĂ©es, il y avait un excĂšs de lĂ©sions cervicales prĂ©cancĂ©reuses causĂ©es par des gĂ©notypes non inclus dans le vaccin, entraĂźnant une efficacitĂ© vaccinale nĂ©gative pour ces variantes du PVHâŠ
Les résultats sont probablement la premiÚre preuve à ce jour d'un « démasquage clinique » (ou phénomÚne de remplacement) avec la vaccination contre le PVH, ce qui signifie que la protection contre les souches couvertes par le vaccin rend les femmes plus sujettes aux attaques d'autres variantes cancérigÚnes du PVH. »
Ces rĂ©sultats ont Ă©tĂ© publiĂ©s dans le Lancet Oncology du 1er juillet 2022 avec toujours la mĂȘme conclusion, comme pour les injections COVID19, il faut continuer Ă vacciner avec ces poisons inutiles !
Le phénomÚne de remplacement connu par Big Pharma !
Ce "phĂ©nomĂšne de remplacement" est prĂ©cisĂ©ment ce qui s'est passĂ© avec le vaccin antipneumococcique. A chaque fois quâune souche prend le dessus Ă la suite de la disparition dâune souche rĂ©duite par un vaccin, les fabricants de vaccins au lieu de retirer leurs vaccins, y rajoutent les souches devenues dangereuses A CAUSE de leur vaccin initial.
La mĂȘme chose se passe maintenant avec le vaccin contre le PVH.
Le Gardasil a commencĂ© avec 4 souches en 2006, pour ĂȘtre mis Ă jour avec 5 souches de plus en 2014 sans jamais expliquer au public pourquoi ces 5 nouvelles souches initialement bĂ©nignes (HPV31, 33, 45, 52 et 58) y ont Ă©tĂ© ajoutĂ©es.
Et gardez en tĂȘte quâil y a 200 souches diffĂ©rentes de PHV !
Comme disait Sylvestre des guignols de lâinfo le but est de toujours « vendre encore plus de vaccins ». Big Pharma et les corrompus gagnent toujours !
Ne manquez pas la petite vidĂ©o ci-dessous đ
La seule réponse à cela est de dire NON et de les exposer !
Note :
Le Cervarix de GSK, un autre vaccin contre le PVH (il couvre les dites deux principales causes de cancer du col de l'utĂ©rus, le PVH 16 et 18), est disponible en Europe et dans d'autres parties du monde, mais depuis 2017, GardasilÂź9 est le seul vaccin contre le PVH approuvĂ© pour une utilisation aux Ătats-Unis.
Donc malgrĂ© la faible prĂ©valence des cancers du col de lâutĂ©rus (le risque pour une femme d'ĂȘtre diagnostiquĂ©e d'un cancer du col de l'utĂ©rus n'est que de 0,7 % aux USA !) lâOMS et Bill Gates, poussent comme des dingues pour faire vacciner toutes les adolescentes surtout avant quâelles ne puissent ĂȘtre en Ăąge de procrĂ©er.
Tout comme pour les injections COVID-19, ces vaccins touchent à la fertilité des femmes et des hommes trÚs probablement aussi.
Comment peut-on faire prendre un tel risque pour un bĂ©nĂ©fice plus que douteux et qui nâen vaut pas la peine de toute façon. Une bande de criminels !
Enfin, les propres données de Merck ont montré que l'administration du vaccin Gardasil aux filles qui avaient déjà été exposées au PVH augmentait en fait leur risque de développer des lésions précancéreuses (ou pire) de prÚs de 45 %.
Comment vont-ils pouvoir prouver que nos enfants nâont jamais Ă©tĂ© infectĂ©s par le PVH avant de les injecter ?
Se sont-ils juste posés la question ?
Non, car tout nâest ensuite que fric et corruption !
Suite, Ă©pisode 7âŠ
Vous pourrez retrouver ici toute la sĂ©rie spĂ©ciale đșđđđđđ đđ qui est publiĂ©e au fur et Ă mesure —ïž
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